Renaturation et végétalisation de Clermont-Ferrand: ces deux piliers de l’adaptation de notre ville au réchauffement climatique sont placés au cœur de notre mandat. Dans un territoire au riche passé industriel, très tourné vers la mobilité automobile, nous partions de loin. Maire-adjoint délégué à la nature en ville, Nicolas Bonnet joue sur tous les tableaux pour inverser la vapeur et faire respirer la ville : préservation de l’existant, valorisation des surfaces de pleine terre et des espaces de nature dans l’espace public et la vie quotidienne des Clermontois.e.s. 

Que ce soit au travers des prescriptions du futur Plan d’Urbanisme intercommunal (PLUi), de la Charte de l’arbre de la Métropole (portée notamment par Jean-Marie Vallée), par la plantation d’arbres, notamment dans le cadre du projet Inspire, le permis de végétaliser, la végétalisation des cours d’école ou la création de nouveaux parcs et espaces de nature, en plus de celle d’un espace naturel sensible en cœur de Métropole sur les Côtes de Clermont, nous visons le déploiement d’un véritable plan canopée devant garantir à tou·te·s les Clermontois·e·s l’accès à un espace de nature à moins de 10 minutes de chez eux. 

Nous allons encore accélérer dans les années qui viennent. 

25 ha d’espaces verts en plus, dont 12,5 d’ici 2026 : parmi eux un nouveau parc dans le quartier Saint-Jean (2,5ha), le parc saint Jacques (3,5ha), les petites sœurs des pauvres (0,9ha) => 2024, le parc de la Fraternité, l’ouverture des Carmes 2